lundi 8 août 2011

J5 : direction la breloque...

Tout le monde est sur le pont pour une journée au planning équivalent à celui de la veille, mais avec un enjeu renouvelé: le Bronze.
Notre dernière journée a lieu dans la plaine et non plus dans les hauteurs, et nous sommes présents suffisamment tôt pour encourager l'open France.

11h - France Master / Italie Master (Recovery)

Une nouvelle demi-finale, doublée d'une tension latine, comme à chaque France-Italie. Le capitaine (italien), à la surprise générale, calme tout le monde dès le 3e point en demandant à ce que les esprits ne s'échauffent pas si vite. De fait, l'esprit du jeu restera très acceptable tout du long du match qui aura été dominé de long en long par la France. 17-10. Nous sommes fiers d'avoir mis beaucoup plus de manière que la première fois.

16h - France Master / Allemagne Master (Bronze)

LE match de la semaine, à défaut de notre showgame de la finale. Nous devons prouver à toute les équipes que notre place est bel et bien à cet endroit. De fait, on commence sur les chapeaux de roue (à nouveau) et prenons le large. 9-7 à la mi-temps.
Les Allemands serrent les rangs, et sortent une sorte de défense de zone qui nous perturbe énormément. Ils rognent l'avance que nous avions acquise au deux tiers (14-10, puis 16-12).

Alors nous sortons du lourd, comme l'improbable longue de Nazouille la fripouille.
Fin.
17-13
Bronze.
Joie.
Grosse joie...

L'histoire devra retenir qu'après avoir sauvé une moquette, Fred Chev sert Pablo, qui n'est pourtant pas crédité de notre dernier point.

Nous fêterons dignement, mais malheureusement sobrement notre victoire.

On ne peut pas dire que Maribor, jorek soir, soit au top de l'ambiance.

Le serveur de l'"Ancora", où nous avons dîné, nous apprend que la boite de nuit qu'il connait est à 250... kilomètres!! Nous tentons de nous rabattre sur un club (le 55), et tombons sur des jeunes allemands (touristes, et non joueurs) à la recherche d'un "Red Light", et sur Miranda (Aucun lien de cause à effet).

Le "55" est vide, à l'exception d'une équipe (la notre). Peut-être à cause d'une bagarre de Romarin (et leur pot de terre) qui nécessita une descente de police 10mn avant notre arrivée.
Nous tentons de nous rabattre sur le fuego, mais malgré des horaires affichés (Jorek/Patek/Soboda), la porte est bien clause.
retour au dortoir par un "raccourci" le long des quais.
La Fete sera demain soir...

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