Premier lundi de compétition, et premier jour à deux matchs. Levés tôt pour prendre le petit-déjeuner vers 6h30, et direction les terrains du haut. Mise en jambe particulièrement efficace, et vif du sujet.
9h – France Master / Allemagne Master
Un match pas très relevé. La première mi-temps est facile, la seconde encore plus, puisqu’ils ne marqueront aucun point. 17-4. Ils ont l’extrême gentillesse de nous donner un bidon de pression est-allemande, qui nous servira plus tard. En attendant, il se stocke gentiment dans le frigo du van de Gaillardo.
Le second match va arriver vite. Pedro et Sancho (voir plus bas) décident de mettre leur troisième sommet mariboréen à leur palmarès, le reste déjeune sur le pouce avant d’attaquer notre routine de pré-match : footing, gammes, lancers, exo et ultramate devant le regard envieux de l’équipe féminine qui nous encouragera une bonne partie du match.
13h30 – France Master / Italie Master
Une entame de match sur les chapeaux de roues, aidé par le premier drop de pool sur la première offense italienne. Puis ils resserrent leur jeu et nous obligent à monter également notre jeu. 8-8. Dernier point de la première mi-temps capital, et Cyril N. se fend d’un magnifique lay-out callahan !!
9-8 à la mi-temps, et première offense en reprise réussie, le break est fait, 10-8 ! Et puis quelque chose se grippe, à l’image de certains upsides un peu trop verts, et l’Italie passe à 11-13. On se fait un peu peur, mais on ressert dignement les rangs pour finir en beauté, 17-14.
Que la victoire est belle après autant de tensions et quelques moments très… italiens.
Décrassage, piscine, et on va encourager les féminines (vs Suisse) dans leur match de repêchage, qu’elles perdront sous la pluie. En bonus, il nous a été donné de voir les coulisses de l’œil de Bruno. Il est temps de dire la vérité : il y règne une forte odeur de lange et de lait caillé. (En plus, ne pas arriver à filmer un si beau callahan… J)
Nous décidons ensuite de faire un honneur au baril teuton en le vidant devant le show game des autres terrains (Suisse – Finlande Open), où les vannes fuseront autant que les longues.
De retour à l’hôtel, décision est prise de dîner en ville, dans le restaurant « Anchora » qui accueillit les présents du vendredi soir. Le chemin de l’aller est surréaliste : nous assistons en direct à un accident entre deux voitures laissées sans conducteur à un carrefour.
Plus tard, la bonne adresse sera confirmée !! Le staff s’y voit baptisé. Bienvenu à Pedro (Frédéric G.), Sancho (Pierre Sanchez) et Mendoza (Pierril). Après le repas, petit débrief’ rapide de la journée (principalement autour de la nécessité de la solidarité, coûte que coûte, et certains tours de vis tactiques), et chacun rentre par ses propres moyens, la nuit sera nécessaire. Demain, c’est l’épreuve de vérité.
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